Dans la poursuite de notre cycle d’auditions liées à la dissuasion nucléaire, la Commission de la Défense nationale et des Forces armées auditionnait M. François Jacq, administrateur général du Commissariat général à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA), M. Vincenzo Salvetti, directeur des applications militaires au CEA ainsi que Mme Emmanuelle Maître, chargée de recherche à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS), Mgr Antoine de Romanet et M. Jean-Marie Collin, porte-parole de d’International Campaign to Abolish Nuclear Weapons France.
La complexité de la dissuasion nucléaire est avant tout technique et la France doit demeurer indépendante technologiquement dans ce domaine.
Le CEA étant mobilisé depuis plusieurs décennies dans le domaine du calcul et de l’ordinateur quantique, j’ai ainsi interrogé MM. Jacq et Salvetti sur le développement de ces technologies et de la préparation de la France à l’émergence de celles-ci.
Je les ai également interpellés sur leurs actions menées auprès des écoles d’ingénieurs et des laboratoires de recherche pour adapter les formations aux métiers du nucléaire d’aujourd’hui et de demain.
Réalisée à huis clos, et sans aucun appareil électronique en raison d’informations sensibles, cette audition n’a pas été enregistrée.